En droit français, la promesse d'embauche constitue un engagement juridique contraignant dès lors qu'elle contient les éléments essentiels du contrat de travail. Sa rupture doit être formalisée par écrit et peut entraîner des conséquences juridiques importantes, notamment l'obligation de verser des dommages et intérêts. Cette lettre s'inscrit dans le cadre légal défini par le Code du travail et la jurisprudence de la Cour de cassation, qui assimile une promesse d'embauche précise à un contrat de travail.

1. En-tête: Informations d'identification incluant nom, adresse de l'employeur et du candidat, date

2. Référence à la promesse initiale: Rappel des conditions essentielles de la promesse d'embauche (poste, date de début, salaire)

3. Motif de la rupture: Exposition claire et précise des raisons de la rupture de la promesse d'embauche

4. Conséquences de la rupture: Détail des modalités de rupture et des éventuelles compensations

5. Formule de politesse: Conclusion professionnelle de la lettre

6. Signature: Signature de l'auteur de la rupture avec date et lieu