Dans le cadre d'une succession ouverte en France, un héritier peut choisir de renoncer à ses droits au profit d'autres héritiers moyennant une contrepartie. Cette opération, appelée renonciation translative, permet d'organiser la transmission du patrimoine successoral tout en assurant une compensation au renonçant. Cette pratique est encadrée par le Code civil français et nécessite l'intervention d'un notaire pour sa validité. La renonciation translative se distingue de la renonciation pure et simple par l'existence d'une contrepartie et son caractère translatif au profit de bénéficiaires déterminés.

1. Identification des Parties: Désignation complète du renonçant et des bénéficiaires de la renonciation

2. Exposé Préalable: Contexte de la succession et description des biens concernés

3. Objet de la Renonciation: Description précise des droits successoraux objets de la renonciation

4. Prix de la Renonciation: Montant ou contrepartie de la renonciation translative

5. Modalités de Paiement: Conditions et échéancier du paiement de la contrepartie

6. Déclarations et Garanties: Attestations des parties sur leur capacité et droits

7. Date d'Effet: Moment où la renonciation prend effet

8. Signatures: Signature des parties et date